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 Une histoire de prime

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Samus Elhe'haria

Samus Elhe'haria


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MessageSujet: Une histoire de prime   Une histoire de prime I_icon_minitimeJeu 3 Juin - 0:44

[DEBUT DU RP Ici]

L'Adam Malkovich se stabilisa près du relais de la mer pourpre. Samus lança un regard à Kadararan qui restait calme bien que fixant toujours la chasseuse de prime avec des yeux d'assassin. Le chasseur se remit en route vers la planète Almacrux. Il arriva bien vite à destination. La sphère bleue verte possédait une atmosphère et une température en surface de 31 °. Bien qu'aucun végétaux ne soit présent à sa surface, il existait une multitude de forme de vie bactériennes. Des projets de colonisation avaient vu le jour mais la bureaucratie et les groupes écologistes ralentissaient l'implantation d'une espèce intelligente sur cette terre. Enfin en théorie.

Le chasseur biplace traversa le ciel d'un bleu violacé et s'approcha à grande vitesse du sol. Il slaloma habillement entre les massifs rocheux. En quelques minutes seulement, il arriva à une plate forme placée sur un petit plateau encastré dans une vallée étroite.

Une fois les moteurs éteints, la quarienne se leva.


"Nous voici à destination. Sur le lieu de la livraison. Poutchy, reste ici et transfert moi les messages qui arriveront sur le terminal."

Le petit drône se réveilla et voleta vers le tableau de bord, passant en silence devant Kadararan comme s'il était navré de la situation.

La quarienne releva l'asari et lui fixa une grenade entre les omoplates. Puis elle lui délia les jambes.


"Si tu tentes de te sauver, tu sautes. Ceci dit, ce serait bête, il n'y a rien sur cette planète à part cet avant poste. Et je suis la seule à pouvoir activer ce chasseur. Maintenant avance. A l'exterieur il y a peu d'oxygene mais assez pour que tu survives. D'ailleurs toute course t'essoufflerai rapidement."

L'asari, toujours bâillonnée, ne pu injurier comme il fallait la chasseuse de prime.

Une fois à l'extérieur, les deux femmes avancèrent rapidement. Le soleil tapait fort et les ultraviolets pouvaient être dangereux à une longue exposition. Elles pénétrèrent dans le complexe par une petite porte sobre donnant sur un long escalier. La descente paru interminable. Enfin elles arrivèrent dans une zone souteraines installée dans une cavité. Quelques hommes en armes s'amusaient au paazak, un jeu venant d'une galaxie très lointaine disait le slogan inscrit sur la boite. A l'arrière, de nombreux scientifiques galariens, humains et asaris s'affairaient autour de divers machines et laboratoires. La quarienne se raidit mais continua d'avancer. L'un des garde, un Butarien, l'arrêta, braquant son arme sur elle.


"Je vois que la garde est très efficace ici."

"Ouai enfin il n'y a personne dans ce secteur de la galaxie, on va pas se faire chier à garder dehors. Elhe Haria c'est ça? vous êtes attendue dans la salle là bas."

"Vous ne craignez pas qu'Il soit au courant de votre laisser aller?"

Le gardien haussa les épaule et se détourna de la quarienne comme s'il n'en avait cure de son rôle. Puis il retourna avec ses collègues.

La quarienne attrapa l'Asari par l'épaule et l'amena jusqu'à la salle. Elle porta la main à son casque puis ouvrit la porte. A l'intérieur, un galarien de haute stature pour son espéce les accueillit.


"Bienvenue chasseuse de prime. Je m'appelle Illot. Je suis votre intermédiaire avec le courtier de l'ombre. Je détient votre paiement. Remettez moi la créature." fit il avec un sourire de batracien.

"Une minute. Avant toute transaction, j'aimerai savoir pourquoi on m'a mentit. Cette... créature n'est pas une pirate n'est ce pas?"

"Non en effet. Le courtier vous à fournis une mauvaise information."

"Cela m'étonne de lui. Il ne se trompe jamais."

"Non en effet, mais le trafic d'information ne veut pas dire forcément des informations véridiques."

"Vous m'avez manipulé en somme. Vous saviez que je n'aurai pas accepté sinon."

"Certes, mais maintenant que vous êtes là, vous ne seriez pas assez bête pour rebrousser chemin?"

"Non bien sûr que non, je viens chercher mon paiement."

"Alors envoyez l'Asari."

"Comment puis je être sûre que vous n'allez pas me mentir une seconde fois?"

"Nous savons que ce n'est pas dans l'intérêt du courtier."

"Une dernière question, qu'allez vous faire de l'Asari?"

"Cela ne vous regarde en rien, maintenant laissez la venir à moi." fit le Galarien commençant à perdre patience.

"Non je veux une réponse maintenant!"

"Je vous dirai tout une fois l'Asari en ma possession."

La quarienne regarda Kadararan quelques secondes.

"Soit..." Elle poussa l'Asari en direction du galarien. " Avance toi!" rajouta t'elle en lui tapant dans le dos.

"Fort bien, ce n'était pas si difficile. Je vous transmet tout ce que vous avez à savoir sur votre Omnitech. Nous vous garantissons que tout ce qui est inscrit dans ces fichiers sont rigoureusement exacts. Nous vous remercions pour votre colaboration, le courtier vous tient en haute estime vous savez."

"Ouai au point de me mentir. Et pour l'Asari?"

"Oh, et bien disons que nous allons lui faire ce que nous aurions pu vous faire si vous n'étiez pas de notre coté."

"Oh je vois. Dommage"

La quarienne se retourna et fit mine de sortir.

"Je vous souhaite un bon re..."

La phrase fut interompue par un coup de feu. Le Galarien regarda bêtement le sang couler au centre de son visage et s'écroula de toute sa longueur devant les yeux abasourdis de l'Asari.

Tout en retirant les étreintes de l'asari, la quarienne souffla:

"Je suis vraiment trop bête. Suit moi si tu veux vivre et je te demande d'essayer de me faire confiance. Tu auras des explications."


Dernière édition par Samus Elhe'haria le Sam 31 Juil - 23:05, édité 1 fois
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Kadararan




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MessageSujet: Re: Une histoire de prime   Une histoire de prime I_icon_minitimeJeu 3 Juin - 19:41

Kadararan était énervée. Très énervée. À un point inimaginable. Surtout après qu’elle ait été bâillonnée. Elle se dit intérieurement qu’elle ne tomberait plus jamais inconsciente, car c’était décidément très mauvais pour elle. Si elle n’était pas dans cet état lamentable, pieds et poings liés, sans armes et armures, elle ne se serait pas fait avoir aussi facilement. Et cette Quarrienne n’aurait pas fait main mise sur elle.
Sans étonnement pour Samus peut-être, L’Asari ne ressentit presque aucune gènes à entrer dans cette atmosphère si pauvre. Au début peut-être, mais elle s’adapta rapidement à ce nouvel environnement.
L’énervement s’empara de plus en plus de la demoiselle. La discussion entre le scientifique et son ravisseur ne la calma pas le moins de monde. C’était plutôt le contraire. Son regard était assassin et tout en elle était crispé. Violence. Elle ne pensait qu’à frapper. Au sang verdâtre qui s’échapperait du corps inerte de ce Galarien une fois qu’elle lui aurait arraché la tête, puis le cœur, puis ses membres.
Au grand étonnement de Kadararan, Samus se retourna contre le scientifique en lui tirant une balle dans la tête pour ensuite détacher la demoiselle. Elle resta quelques minutes les yeux rivés sur la Quarienne. Son attitude était différente, bestiale. Ses iris jaunes étaient injectés de sang. Où bien était-ce leur couleur qui changeait. Kadararan avait envie de la griffer, de la mordre, de se jeter sur elle. Un éclair de lucidité lui fit prendre conscience que, si elle se retournait contre la chasseuse de prime, elle ne pourra ni quitter cette planète, ni comprendre ce qu’il se passait. La demoiselle prit sur soit. C’était un exercice de sang froid difficile car sa colère était sans précédents.
Calme-toi. Rappelle-toi de l’entraînement. La méditation. C’est ça.
Elle respira un grand coup.
" T’aurais au moins pu essayer d’obtenir mon accord avant de tenter un truc pareil. Histoire de me mettre au courant avant la baston, par exemple ! "
Les gardes, interpellés par le coup de feu de la Quarrienne, s’étaient préparés à riposter. Ils tirèrent dans la direction des deux femmes. Kadararan, qui ne faisait pas vraiment attention, se fit presque toucher par une rafale qui éclata le sol à ses pieds. Elle jura en l’esquivant à la dernière minute.
" L’entraînement. La méditation. Rappelle-toi. ", fit-elle en grinçant les dents, essayant de retrouver son calme.
Une balle s’insinua dans son épaule. La douleur réveilla sa colère qui avait enfin trouvé une cible qu’elle pouvait massacrer.
" QUI OSE ?! ", grogna-t-elle en se retournant subitement.
Faisant fi de sa souffrance, Kadararan serra ses dents et concentra ses pouvoirs biotiques. Rapidement, une gigantesque aura bleu entoura l’Asari qui, ne se préoccupant pas d’être à moitié nue et sans armes, se dirigea vers le mercenaire qui lui avait tiré dessus.
" Code rouge, les gars ! ", fit le Butarien en apercevant Kadararan. " On tue d’abord la Quarienne. L’Asari, c’est du menu fretin comparé à elle. "
Ils tirèrent des rafales en direction des deux femmes que la demoiselle arrêta à l’aide de sa biotiques. C’était une sorte de barrière bleutée où les balles, prises dans un champ gravitationnels, s’arrêtaient subitement dans leur lancées pour s’envoler vers le plafond.
Kadararan se propulsa rapidement vers le mercenaire Butarien et lui décocha un coup de poing qui l’envoya valser quelques mètres plus loin. La demoiselle bondit sur lui et, en agrippant sa tête, l’éclata violemment contre le sol. Un horrible craquement s’échappa du crâne du Butarien tandis que le sang et la cervelle se répandait par-terre.
Les scientifiques s’alarmèrent, la plupart se cachaient derrière les machines et sous les tables.
Tandis que les autres gardes voulurent riposter à cette nouvelle menace qu’était l’Asari, celle-ci avait complètement disparut de leur champ de vision. Ils étaient désemparés.
Samus, de son côté, avait armé son fusil à pompe et courait vers le mercenaire le plus proche. Ce dernier tira sur la Quarienne mais son bouclier tint bon. Ce fut au tour de cette dernière de riposter et, arrivée au corps à corps, elle plomba la tête du mercenaire qui sombra dans le repos éternel.
Le dernier garde voulut tirer sur la chasseuse de prime mais son arme fut violemment projetée sur le côté par un projectile bleuté. Kadararan tomba du plafond à ce moment-là et le mercenaire vit tellement d’agressivité et de bestialité dans le regard de l’Asari qu’il eu un haut-le-cœur.
Cette dernière tourna violemment la tête de l’humain. Un craquement et il s’effondra.

Elle toisa les scientifiques qui se cachaient, apeurés. Kadararan estimait qu’elle n’avait pas encore prélevé assez de sang. Une fureur animale grondait en elle. N’écoutant que son instinct, elle se jeta sur eux.
Ce fut en carnage. Entre les cages thoraciques défoncées, les membres arrachés et les têtes écrasées, Samus ne pouvait pas dire ce qui était le pire. Presque la totalité des scientifiques furent gravement blessés ou morts. La demoiselle souleva une Asari en la tenant par la gorge, bien décidé à serrer sa trachée jusqu’à ce que mort s’ensuive.
" Ka…Kada, attend ! C’est... urk, c’est moi! ", fit-elle dans un murmure.
Kadararan ne réagit pas immédiatement. Ses yeux qui auparavant étaient jaune étaient maintenant d’un rouge éclatant. Son iris n’avait plus sa taille normale et semblait s’étendre sur la totalité du globe oculaire. L’esprit tourmenté de la demoiselle se calma en reconnaissant l’Asari.
" Ka... Kaniya. "
La demoiselle lacha sa prise et l’Asari se réceptionna sur le sol. Elle tenait sa gorge meurtrie, pliée en deux, aspirant avidement une goulée d’air.
" C’est ça. ", dit-elle entre deux respirations. " Kaniya. C’est moi, Kadararan. Calme-toi. "
La demoiselle prit conscience de ce qu’elle faisait et du sang qu’elle avait sur les mains et qui avait splitté sur une bonne partie de son corps.
" Je ne sais pas ce qui m’a pris. ", s’enquit-elle. Elle se tînt la tête avec ses mains en regardant le sol. " C’était dans ma tête. Ca me disait de les tuer. "
La dénommée Kaniya entoura la demoiselle de ses bras protecteur pour la rassurer.
" Ce n’est rien. Ce n’est pas grave. Je te promet que ça ne t’arrivera plus. ", dit-elle en examinant les yeux de sa protégée. " Calme-toi. "
Kadararan fronça les sourcils. Maintenant qu’elle était de nouveau lucide, elle se rendit seulement compte qu’elle venait de retrouver celle qu’elle considérait comme sa mère.
" Kaniya ! ", dit-elle en s’arrachant à l’étreinte de la scientifique. La demoiselle recula de quelques pas. " Impossible ! Tu es morte ! Tu n’as pas pu survivre ! Tu m’as toi-même jetée dans la dernière capsule de secours ! Je me souviens encore de ton corps déchiré par l’explosion de la station. "
Samus, qui avait suivis la scène de plus loin, s’approcha du duo.
" Qui est-ce ? "
" Ma mère. ", déclara la demoiselle. " Je suis peut-être née dans une cuve, mais c’est quand même elle qui m’a créé. "
Suite aux paroles de l’Asari, la quarienne se figea. Elle jugea un moment de haut la scientifique, s’approcha d’elle froidement et lui assena un coup de poing en pleine face, puis toujours avec un calme d’apparence, la saisit par sa tunique et la plaqua contre le mur.
" De quel droit jouez vous avec la vie ? Vous vous prenez pour des dieux mais nous n’êtes que des monstres ! "
La chasseuse de prime plaqua son avant bras sur la gorge. Il lui suffisait d’activer sa lame pour mettre fin aux jours de la scientifique.
" NON ! ", s’exclama Kadararan en s’accrochant au bras de la Quarienne pour l’empêcher de commettre ce geste. Elle regarda Kaniya intensément. " Je… Je ne sais pas. "
Sa poigne était de moins en moins intense. Au bout d’un moment, la demoiselle lâcha complètement sa prise.
" Je ne sais pas quoi faire. Elle, ce n’est pas possible qu’elle soit toujours vivante ! "
" Et pourtant, je suis toujours là. "
Un sourire malicieux orna le visage de la scientifique.
" Samus Elhe’Haria. Pensez-vous réellement que ce soit nous les monstres ? "
Kadararan était médusée.
La Quarrienne appuya fortement sur la trachée de l’Asari.
" La ferme ! Vous n’avez pas idée de ce que vous faites. Regardez là ! Regardez votre création ! Voyez à quelle vie vous l’avez condamnée, traquée comme une bête, objet de convoitise… Et tout ça dans quel but ? Vous vous amusez avec la vie comme un enfant avec une grenade, ne vous étonnez pas qu’aujourd’hui ça vous pète à la gueule. "
Elle renforça la pression, commençant à faire suffoquer Kaniya.
" Vous n’avez pas idée, pas idée de ce que nous avons subis, de ce que nous subissons encore, vous… vous mériteriez que je vous torture pendant des mois pour prendre conscience, je vous déteste, tous, tous autant que vous êtes, vous les scientifiques… "
La demoiselle ne pipait pas un mot. Les yeux écarquillés, elle se retourna et commença à faire les cents pas.
" Je ne sais pas… Je ne sais vraiment pas. "
Elle entendit le bruit d’une lame coupant l’épiderme suivit d’un corps tombant sur le sol. Kadararan s’arrêta brusquement. À ce moment-là, quelque chose se brisa définitivement en elle. La demoiselle baissa les yeux, l’air sombre.
" Définitivement. J’ai tout perdu. ", dit-elle d’un air désabusé.
L’Asari détourna le regard. Elle resta silencieuse pendant quelques minutes avant d’ajouter une dernière chose.
" Merci de m’avoir tiré de là. "
Samus se laissa glisser contre le mur et se prit la tête entre ses mains, tourmentée.
" Je… Je suis désolée…je… ", bredouilla-t-elle, essayant de faire de l’ordre dans son esprit.
" J’ai les yeux qui picotent. ", ajouta simplement Kadararan. " Et je crois que tu as des choses à me dire. "

*
* *
*

L’Adam Malkovich s’était posé sur Almacrux pour la première fois. Maintenant, il décollait pour ne plus jamais y revenir. Samus avait posé des explosifs aux endroits stratégiques de la station pour, selon ses dires "effacer cet endroit abominable de notre plan d’existence". Le détonateur en main, elle regardait avec mépris la base du courtier de l’ombre qui s’éloignait petit à petit de son champ de vision.
" Puisse vos dieux ne pas avoir pitié de vos âmes. "
Kadararan, de son côté, regardait un coin sombre du vaisseau en croisant ses bras, adossée à la coque. Samus allait appuyer sur le détonateur mais arrêta son doigt au tout dernier moment. Elle le balança à Kada.
" Tient. À toi l’honneur. "
Surprise, l’Asari rattrapa de peu le détonateur avant qu’il ne tombe sur le sol.
" Hein ? ", fit-elle en regardant l’objet avec des yeux ronds. La chasseuse de prime fixa la demoiselle avec intensité.
" … Très bien. Adieu, naïveté. »
Et elle appuya sur le bouton.

*
* *
*

Ils étaient partis depuis quelques temps déjà. Samus éloignait le vaisseau de l’ancien avant-poste du courtier de l’ombre pendant que Kadararan soignait ses blessures. Alors qu’elle extrayait la balle de son épaule sans une grimace, Poutchy fit son apparition et virevolta autour de l’Asari.
" Je suis très heureux de revoir vos magnifiques courbes en un seul morceau. "
Puis après avoir fait trois fois le tour de Kadararan rapidement, il ajouta : " Je vous avais bien dit qu’elle était plus gentille d’habitude. "
Il vit la plaie ensanglantée.
" C’est douloureux ? Ca fait quoi d’avoir mal ? Je me suis toujours demandé comment c’était la douleur. En tout cas, ça n’a pas l’air de vous faire plaisir à toutes les deux. Pourtant, dans certains holo, les Asaris appréciaient ça. "
Dans un magnifique mouvement de balancier, il esquiva la clé à molette envoyée par Samus.
" Tu n’es pas une simple IV. Tu es une IA. ", dit l’Asari en tapotant la coque de Poutchy.
" Les intelligence artificielles sont les cibles les plus dures à éliminer. Elles peuvent pirater les IV et soumettre les Mechas à leurs volontés. Généralement, les IA sauvegardent leurs données dans plusieurs disques durs, soit dans l’espace restreint de leur base, soit dans différentes galaxies. Elles sont théoriquement invincibles. "
La demoiselle appliqua une couche de médigel sur son épaule.
" J’espère que tu ne seras jamais mon ennemi ! "
" J’espère même qu’au contraire nous seront des amis… très très proches. ", fit Poutchy en virevoltant de plus en plus près de la poitrine de Kadararan.
Exaspérée, la chasseuse de prime se leva et shoota dans le drone.
" Rustre ! ", dit Poutchy qui fila bouder dans son placard.
" Hé ! Il est super affectueux ! J’aimerais bien en avoir un comme ça, moi aussi. "
" Ouai, il l’est un peu trop justement, au bout de quelques jours, il est insupportable. Ca fait des années que j’endure ça. Bon, et ta blessure, tu supporte ? "
La demoiselle haussa les épaules.
" Mes brûlures ne me font plus mal. Par contre, ma blessure par balle me fait encore un peu souffrir. Elle ne devrait pas mettre longtemps à se refermer, c’est toujours comme ça que ça marche avec moi.
Les dégâts auraient pu être moindre si j’étais équipée. Tu ne m’as toujours pas dit ce qu'il était advenu de mon équipement !
"
" Je crains qu’il faille t’en confectionner ou en acquérir de nouveaux. On peut toujours revenir sur Daratar pour tenter de le retrouver, mais cela peut être dangereux et les chance de retrouver tes armes et armures sont minces. "
Tandis que la demoiselle pestait sur la disparition de ses lames si chères à ses yeux, la Quarienne se leva et s’appuya contre le casier.
" Je t’avais promis des explications. Et d’ailleurs, je ne me suis même pas présentée en bonne et due forme. Je me nomme Elhe’Haria Vas Adam Malkovich Nar Archon mais on me surnomme Samus depuis toute petite. "
" Wow, le nom à rallonge. Samus, ça ira très bien. ", s’exclama Kada. " Avant toute chose, j’aimerais bien que tu me fasse le topo de ce qui se passe dans la galaxie. Il y a beaucoup de choses dont je n’ai jamais entendu parler et que j’aimerais pourtant connaître. Comme par exemple l’organisation de ce… couturier de l’ombre. "
Encore un nom massacré par Kada.
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Samus Elhe'haria

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MessageSujet: Re: Une histoire de prime   Une histoire de prime I_icon_minitimeMar 8 Juin - 22:39

La quarienne restait appuyée sur le casier les bras croisés sur sa poitrine, regardant l'asari. Elle n'aimait pas beaucoup parler d'elle, de son histoire personnelle, surtout à des inconnus, qui plus est pouvant s'avérer hostile. Mais la chasseuse de prime avait donné sa parole et se trouvait coupable d'une grosse erreur concernant Kadararan. Elle soupira après quelques secondes de silence.

"Il y a beaucoup de choses à dire, le sujet est vaste. Je ne sais pas trop par où commencer. Le courtier de l'ombre, et non couturier, bien que cela soit une métaphore pas si inapropriée, est une personne ou une organisation donnant dans le trafic d'information. L'information, c'est le pouvoir. Il donne et manipule des données pour, dit il, assurer la stabilité galactique et faire du buisness. Je sais qu'il traine des sommes colossales mais je ne connais ni son but exact ni son identité. Personne ne le sait d'ailleurs mais cela m'étonnerait que ce soit un simple buisnessman cherchant à se faire du pognon en gardant une éthique idéaliste et utopiste."

La quarienne commença à marcher et s'appuya contre le dossier du siege de pilotage, regardant la planète à l'extérieure d'un air pensif.

"Concernant ce qu'il s'est passé... J'ai été embauchée par le courtier pour te capturer en vie. J'imagine qu'il voulait continuer les expériences et revendre les résultats au plus offrant, ou alors tenter de faire de toi un de ses agents. Je n'en sais rien. Quoiqu'il en soit, je n'avais aucune confiance en toi et pensais sérieusement que tu tentais de me mener en bateau. Par acquis de conscience j'ai tout de même demandé à un ami de la citadelle de vérifier tes dires concernant ton affiliation avec la conseillère. Je n'ai reçu la réponse que juste avant de passer la porte où attendait Illot."

Elle se tourna de nouveau vers l'asari.

"Si je t'ai poussé ensuite brusquement en te tapant dans le dos, c'était pour désactiver la grenade placée entre tes omoplates. Je n'ai pas pu te mettre dans la confidence et ai dû jouer le jeu jusqu'au bout. Les données que j'ai récupérer son vitales pour moi."

La quarienne soupira de nouveau et esquissa un léger sourire derrière la verrière de son casque.

"En tout cas, finalement tu as eu du bol de tomber sur moi. Aucun autre chasseur de prime n'aurait été assez bête pour se mettre le courtier de l'ombre à dos pour sauver une inconnue. Mais j'ai un handicap qui s'appelle conscience et je t'assure que dans mon boulot, c'est pas tous les jours facile."

Alors que Samus allait ajouter qu'elle devrait presque être reconnaissante, son regard s'assombrit en repensant à la "mère" de Kadararan.

"Concernant cette... Kanyia c'est ça? Je... Je suis vraiment désolée. Je sais que ça n'excusera en rien mon geste mais il faut que tu saches quelque chose sur moi. Je ne suis pas une quarienne ordinaire. J'ai été génétiquement modifiée par des scientifiques peu recommandables. J'ai vécu un véritable enfer, je n'ai souvenir que de douleur et d'obscurité. Tout comme pour toi, ces expériences ont été faites dans le but de rechercher le guerrier ultime. Belle foutaise. Rien ne justifie leurs actes."

Elle baissa les yeux, regardant le sol.

"Je n'en avais jamais parlé avant. Quelques amis savent que je ne suis pas une quarienne normale, par ma force et surtout ma capacité à évoluer à l'air libre contrairement à mes congénères, mais je n'étais jamais entré dans les détails et ils ont toujours eu la décence de ne pas chercher à en savoir plus. Si je t'en parle, c'est simplement parce que nous avons ce point commun, pour que tu comprennes ma réaction face à ces scientifiques et enfin pour te mettre en garde d'être très vigilante. la galaxie est plein de pièges et nombreux sont ceux qui voudront t'étudier comme un animal."

La quarienne ferma les yeux et sourit, riant presque.

"Je les plaints! Même moi j'y réfléchirai à deux fois avant de t'approcher."

Samus se sentait étonnement soulagée par ses paroles. Bien entendu, rien ne garantissait que l'asari devant elle comprendrait ses paroles mais elle avait ce poids sur le coeur depuis trop longtemps qu'elle s'était toujours refusé à partager, gardant son fardeau pour elle seule, se protégeant également et n'entrainant pas ses amis dans des histoires dangereuses. Mais ces derniers jours, tout ce qu'elle pensais si bien enfoui et protégé avait refait surface de nombreuses manières différentes, tout d'abord par le biais du courtier de l'ombre apparemment au courant de tout, par cette asari modifiée et par ce laboratoire plein de généticiens. De plus, le fait que Kanyia connaissais le nom de la chasseuse de prime la troublait. Il s'agissait peut être d'un hasard mais la quarienne n'étais plus sûre de rien.
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Kadararan




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MessageSujet: Re: Une histoire de prime   Une histoire de prime I_icon_minitimeJeu 10 Juin - 21:17

Kadararan écoutait en silence ce que Samus lui déblatérait. Elle écarquilla les yeux lorsque la chasseuse de prime lui révéla qu’elle aussi était génétiquement modifiée. Lorsqu’elle aborda le sujet du courtier de l’ombre, la demoiselle devint confuse.
" Donc si ce gars connaît tout sur tout… Alors ce qu’il m’a dit… "
Elle repensa à son escapade dans l’avant-poste du courtier, juste avant qu’elle ne perde connaissance.
" Je ne sais pas à qui me fier. ", fit-elle en secouant sa tête de dépit. " Je t’avais bien dit que mon but était de parler au conseil, hein ? Le courtier m’a mis en garde contre eux. Ils n’ont pas réellement servis mes intérêts, à vrai dire. "
" Le conseil, ce sont juste des politiciens et bureaucrates qui vivent dans leur réalité. Ce ne sont que des pantins présents pour qu'il y ai un semblant de cohésion. Je n'ai jamais eu à faire à eux, mais de ce que je connais de la politique et de la fiabilité.... ", répondit Samus. " D’ailleurs, ça m’étonnerait qu’ils t’accueillent à bras ouvert. "
" C’est ce que je commence à me dire aussi. "
Malgré cela, le projet de Kadararan pour rejoindre la citadelle était toujours de vigueur. Même si le conseil n’était pas très heureux de la voir, elle aimerait bien leur demander quelques explications, quel que soit le moyen utilisé.
La demoiselle changea de sujet et repensa à Samus et ce qu’elle avait enduré. Ce fait intrigua l’Asari qui réfléchit à grande vitesse.
" On est peut-être pas les seules. Je veux dire, il y a peut-être d’autres personnes reliées comme nous à ce projet du "guerrier parfait". "
La chasseuse de prime ne répondit pas, lançant simplement un regard sombre à Kada.
" Hé ben quoi ? Je m’étais dit que, si ça existait, certains pourraient nous rejoindre, comme alliés. "
" …ou l’inverse. ", ajouta la demoiselle devant le silence insistant de Samus. " C’est vrai qu’on est jamais sûr de rien. "
Elle croisa les bras.
" Kaniya n’était pas toujours avec moi. Elle partait souvent pour je ne sais où. Elle était peut-être sur autre chose. D’ailleurs, elle ne m’a jamais appris à piloter un vaisseau… Je crois qu’elle ne voulait pas que j’en vole un pour m’enfuir. "
Kada était nostalgique. Redire le nom de sa mère avait rouvert une blessure enfuie en elle.
" Kaniya… ", dit-elle en baissant les yeux. " Je t’avoue que la tuer m’a enlevé un certain poids. J’ai beaucoup repensé à ça et… ce n’était pas Kaniya. Enfin, si, c’était elle mais sans l’être. Je ne saurais pas expliquer pourquoi. "
La jeune Asari se releva en prenant appuis sur ses genoux et fixa la vitre du casque de la chasseuse de prime, à l’endroit où devait se trouver ses yeux.
" C’est vraiment trop étrange pour moi. Toutes ces révélations, ça me dépasse. Pourtant, je sais qu’il y a encore des choses que je devrais savoir. "
Kadararan se retourna et regarda l’immensité de l’espace à travers un hublot. Bien qu’elle ne sache pas piloter, la demoiselle savait précisément où se trouvait la station qui l’avait vue grandir. Elle avait exploré tout ses méandres, sauf… le laboratoire de Kaniya. Maintenant qu’elle connaissait l’importance de ces expériences, une idée germa dans son esprit.
" Je connais l’endroit ou Kaniya travaillait. Certaines données importantes pourraient encore s’y trouver. C’est là où j’ai grandis. "
" C’est quoi le piège ? ", intervint la Quarienne.
" La station est sacrément amochée. Et envahie par les Geths. C’est plutôt secondaire, non ? "
Poutchy sortit d’un casier non loin et virevolta autour de l’Asari.
" Si il y a peu de chances de survie et de réussite, elle va s’y précipiter. "
" Alors c’est décidé ! On y va ! "
Samus leva son bras comme pour protester mais haussa finalement les épaules.
" J’ai juste besoin des coordonnées. "

Après lui avoir sommairement décrit l’endroit et lui avoir donné les coordonnées, Kadararan parla de sa vie dans la station. Elle raconta à Samus toutes sortes de choses sur les entraînements, le programme que tenait Kaniya. Elle lui parla aussi de leur dernière mission, qui mit fin aux jours de ses congénères et de son escapade qui en résulta.
" … Et alors, Deekin me dit, après que je me sois marrée –c’est un idiot mais particulièrement chanceux- "Moi pas comprendre blague de Krogan. Pourquoi lui dire ça, toi savoir expliquer ?" sur quoi Lamelle fait "malencontrueusement" tomber une clé à molette sur la tête du Vortcha et dit : "Je viens de te montrer le croisement entre ta tête et mon outil." Et ça se sentais dans son ton que ça faisait longtemps qu’il avait envie de lui balancer quelque chose sur sa gueule ! "
Kadararan souria avant de prendre un air mélancolique.
" J’espère qu’ils vont bien. "
Elle se sortit ces interrogations de sa tête et passa à autre chose. La demoiselle baissa les yeux sur les bandages qui la recouvrait presque entièrement. Bien qu’elle était complètement guérie –à part sa peau qui s’était mystérieusement épaissie aux endroits où elle avait été brûlée-, Kadararan les gardait pour avoir l’impression de porter quelque chose.
" Je me demandais aussi si tu n’aurais pas quelque chose que je pourrais mettre ? Je ne suis pas résistante au point de sortir nue dans l’espace ! "
" Je trouve que cela vous est très seyant. ", déclara Poutchy. " Cela met vos formes en valeur. Les vêtements de Sam ne vous iront pas, ils serreront au niveau de la poitrine. "
La dite chasseuse de prime aurait bien voulu lancer quelque chose sur Poutchy, mais à part Kada, elle n’avait rien sous la main.
" Il y a une station pas bien loin. Des contrebandiers. Je suppose que tu n’as pas de crédits… J’ai reçu un payement en plus des informations promises. Cela sera plus que suffisant pour t’acheter une armure et des armes. "
Le drône se cogna contre le casque de Samus, visiblement pas content.
" Tu aurais pu éviter de le lui dire ! Je la préfère comme ça. Une armure, ça cache l'essentiel. "
*
* *
*
L’Adam Malkovich se rapprochait de la station spatiale. Les contrebandiers avaient rajoutés des annexes à ce qui semblait être un ancien bâtiment abandonné. D’anciennes traces de balles se profilaient sur la coque sommairement retapée.
" Heu, j’ai dit que je ne pourrais pas sortir dans l’espace comme ça. "
" Scan de la station… L’air est composé de 81% de Diazote, 18% de Dioxygène et 1% d'Argon. Malgré un Diazote un peu élevé, cette atmosphère artificielle me semble viable. "
" Sérieux ? On dirait mon ancien vaisseau. "
Après que Samus ait réglé les derniers détails avec les contrebandiers, son vaisseau se colla à la rampe tout juste sortie. Un bruit de décompression leur parvint et le sas s’ouvrit.
La chasseuse de prime pria à Poutchy de veiller sur le vaisseau pendant qu’elle débarquait avec Kadararan. Un Humain typé asiatique suivis de deux Butariens armés les attendaient à la sortie.
" Samus ! C’est une joie de te revoir. Que veux-tu, cette fois-ci ? ", fit le contrebandier en ouvrant grand ses bras.
" Lee, vieille crapule. Tu n’aurais pas de quoi équiper cette Asari ? "
Il jeta un coup d’œil à la demoiselle en rajustant ses fines lunettes.
" Hé, elle est mignonne ton amie ! Tu voudrais pas venir avec nous pour faire plus ample connaissance ? ", dit-il en se tournant vers Kadararan.
" Je peux aussi vous casser la gueule, qu’en dites vous ? "
" Hum, je ne la retiendrais pas quoi qu’il arrive. Je te conseillerais simplement de faire profil bas. "
Le contrebandier ronchonna.
" On peut jamais s’amuser ici… Enfin, venez donc voir ce qu’on a en stock. C’est la meilleure marchandise de la galaxie ! "
Kadararan repéra une armure légère qui avait la dégaine d’un vêtement Asari. Elle embarqua aussi le casque qui allait avec. Elle cherchait désespérément des armes de corps à corps, plus particulièrement des épées mais rien ne correspondait à ses attentes. La demoiselle se résigna à prendre un couteau de commando, trop massif à son goût.
Son regard fut attiré par deux modèles de pistolets qu’elle n’avait jamais vu auparavant. Ils ressemblaient aux M-6 Carnifex mais avaient la couleur du charbon.
Spoiler:
" Ce sont des pistolets modifiés. ", déclara le contrebandier suite aux regards interrogatifs de Kadararan. " Je les ais chourés à un général pirate. C’était un Turien. De bonnes armes, vous savez, mais les pistolets, c'est pas mon genre. "
" Vous les vendez combien ? "
" Ah ça… On en trouve pas tout les jours, des modèles de ce genre. "
Il avait vu l’éclat d’envie dans les yeux de la demoiselle. Le contrebandier allait mettre le prix fort.
" 10000 crédits pièces. "
La demoiselle singea une grimace avant de placer vivement son couteau sous la gorge de l’humain.
" Et leur vrai prix, c’est quoi ? "
Les deux gardes Butariens avaient la jeune Asaris en joue.
" Oh… Un peu de calme, je vous prie. Je peux vous faire un prix, si vous insistez vraiment. 5000 crédits l’unité. "
Elle augmenta la pression de sa lame.
" 3000. "
On aurait dit que le contrebandier venait de se prendre un coup dans l’estomac. Il grimaça. Ses deux gardes étaient prêts à tirer mais il les arrêta d’un geste. Il connaissait la réputation de la chasseuse de prime, et si cette Asari était avec elle, c’est que ce ne devait pas être de la petite bière non plus.
" C’est d’accord. ", dit-il. " Vous avez vraiment fait une bonne affaire. Maintenant, si vous en avez finis, vous pouvez partir."
C’était une façon polie de dire "dégagez". Il jeta un regard noir à Samus qui haussa les épaules de façon innocente.

De retour dans le vaisseau, Kadararan examina ses nouveaux "jouets". Elle appuya au hasard sur les boutons. Un grappin en sortit et se ficha dans le mur, passant à quelques centimètre de Poutchy.
" Oups. ", fit la demoiselle en regardant le drone avec un air gêné. " Mauvaise pioche. Hé ! Il y a même une lampe torche ! "
" Tu as lu les informations qu’il t’ont donnés avec ? ", intervint Samus en clignant des yeux lorsque le jet de lumière passa sur son casque.
" Hein ? Lire ? Pour quoi faire ? "
" …Rien. "
Et elle retourna à son poste de pilotage.

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