Enrique 'Spani' Calderón.

« Identité & informations de base. »

Nom complet : Enrique Calderón Padilla, dit Spani.
Sexe : Mâle alpha.
Race : Membre de l'Humanité.
Âge : Une vingtaine d'années.
Profession : Au chômage, pyromane.
Vaisseau : *quinte de toux*
Grade, rang : Humain / Pyromane.
Groupe : Ça dépend des jours. Pour l'instant, il est loyaliste et espère toujours s'enrôler dans l'armée...

« Description plus étoffée. »

Caractère : Spani déteste la routine et tout ce qui se rapporte à un emploi du temps fixe. Il est donc souvent imprévisible, et est incapable de rester au même endroit plus de quelques mois. C'est évidemment la raison principale de ses maints changements de profession. La malchance, pour ne pas dire son manque de dextérité, est quelque chose de courant chez lui, et c'est souvent ce qui le met en position défavorable. Généralement, Spani écoute, encaisse les insultes et ne dit rien. Mais attention, il note tout et n'attend que le bon moment pour la vengeance. Il est peut-être un peu impulsif lorsqu'il est furieux, mais quand il est calme et serein, il prône l'élaboration de stratégies à l'improvisation. Comme il a passé une partie de sa vie comme concierge, il a une petite obsession de la propreté... Le désordre, il abhorre et pourrait tuer si son appartement se retrouverait dans un tel état. Finalement, on dit de lui qu'il aime les femmes, mais qui est l'homme le plus malheureux en amour, en sexe, et en couple. Célibataire depuis vingt-huit ans...

Et procrastination, quand tu nous tiens...

Physique : Les origines espagnoles se dessinent dans son visage et dans sa façon de parler. Il a les cheveux courts et noirs, des yeux bleus un peu trop perçants, et une légère musculature due à des années de dures travaux. Il n'est pas spécialement grand, ni trop petit d'ailleurs, mais sa taille se situe dans la moyenne humaine. Partout sur son corps (à l'exception du visage) et plus visiblement sur ses mains, on peut observer quelques brûlures importantes par-ci par-là.

Biographie : Il était responsable des installations sanitaires et de la maintenance du véhicule, ainsi que conseiller bactériologique et recteur de l'assainissement. Ou concierge pour les plus intimes. Même si son rêve depuis tout jeune était de devenir un soldat de l'armée navale humaine, ses songes ne se réalisèrent jamais. Il avait pourtant mis tous les efforts qu'il avait pus, traversé un nombre d'épreuves inimaginable et même sacrifié sa vie à plusieurs reprises, mais il semblait que le rôle de guerrier loyaliste ne faisait pas partie des plans de son destin. Mais il avait néanmoins décidé de travailler dans le domaine spatial, pour rester dans le même environnement. Après plusieurs mois de recherches, on l'avait promu chef des concierges - et l'emphase doit être mis sur le terme chef -, sur le Golden Cart, un vaisseau ayant des objectifs principalement militaires... À première vue, la profession de concierge ne semble pas super tumultueuse... à seconde vue non plus... et pas du tout finalement...

Il laboura ardemment ainsi pendant environ cinq ans, sous la gouverne de tous les autres membres d'équipage. Il était souvent méprisé par les autres, mais toutes les provocations lui passaient six pieds par-dessus la tête. Il s'encourageait intérieurement en se disant que son rôle au sein du Golden Cart était indispensable, et que sans lui le vaisseau serait lugubre, sale et insalubre. Dans ce vaisseau inclusivement humains, il était le seul Espagnol du troupeau, et c'est d'ailleurs pour cette raison que certains soldats avaient décidé de le rebaptiser Spani, en l'honneur de la grande métropole. Bref, les choses se passèrent tout à fait normalement, jusqu'à l'âge approximative de vingt-et-un ans...

Tous les membres d'équipage s'étaient réunis dans la salle d'assemblée, où se tenait une énième réunion sur leurs éventuelles offensives. Comme à l'accoutumée, Spani faisait mine de faire son travail et venait continuellement squatter dans les alentours, admirant les propos du capitaine du Golden Cart. Ce dernier parlait avec tellement de convictions, et tous les autres semblaient le vénérer comme un dieu... Du pouvoir, il aurait tant aimé en avoir un peu plus. Vers la fin de la réunion, le capitaine voulut conclure le rendez-vous en résumant lesdits stratagèmes élaborés :

« Donc, pour la prochaine mission sur Gei Hinnom. Green et ton unité, vous allez vous rendre directement à l'entrée du complexe, et attendrez mes ordres avant de continuer quoi que ce soit. Tant qu'à vous, Jefferson et Smith, vous allez patrouiller autour de la base, et assurez-vous que personne ne pénètre dans le périmètre. Et je... »

Spani toussota bruyamment, de façon à se faire attendre. Tous les regards se posèrent sur lui. Sincèrement, il trouvait les plans du capitaine trop innocents, et pour la première fois depuis son arrivée ici, il sentait le besoin de donner son opinion sur un sujet. Il ne tarda donc pas à dénigrer la stratégie de son supérieur, à ses risques et périls :

« Capitaine, sauf votre respect, votre plan est... idiot. Envoyer Green directement au complexe est clairement suicidaire. Je crois plutôt que... »
« Pardonnez-moi mon cher Calderón, mais je ne crois pas avoir demandé votre avis sur le sujet. Retournez donc à vos balais et à vos seaux et faites votre travail comme il se doit. Vous êtes payé à nettoyer, pas à venir perturber les réunions. »
« Perturber les réunions? Personnellement, je dirais plutôt que ce sont vos plans stupides qui les bouleversent, pas moi! »
« Je vous laisse la chance de retirer vos propos, Calderón. »
« Pourquoi retirerais-je la vérité? Capitaine, rendez-vous à l'évidence, cette stratégie tuera Green et tous vos hommes impliqués. »
« Calderón, quittez cette réunion immédiatement avant que je ne vous... »
« Je vais non seulement quitter cette réunion, mais également ce foutu vaisseau. J'en ai assez de subir vos ordres, et de voir vos hommes mourir sous votre gouverne. J'espère un jour que vous vous rendrez compte de tout ce que vous faites ici... À la revoyure, capitaine! »

Oui, il allait regretter ses paroles, mais pas maintenant. Pour l'instant, il se sentait clairement puissant. Peut-être était-il le seul à être fier de ses actes, mais il s'en contrefichait à l'instant-même. Il quittait donc le Golden Cart dignement, sourire aux lèvres, baluchon sur l'épaule. Avant de partir officiellement du vaisseau, il avait toutefois décidé de donner un peu de fil à retordre à tous, et avait souillé les dortoirs avec tout ce qu'il avait pu trouvé dans les réfrigérateurs du Golden Cart. C'est ainsi qu'il démissionna de son rôle de concierge, et qu'il voulait entamer une toute nouvelle vie dont il serait fier.

Pendant trois ans, il effectua quelques petits boulots par-ci par-là, mais démissionnait aussi promptement qu'il adhérait. Il détestait la routine, et c'était une façon originale de pimenter un peu son existence. Pendant ces années, il se découvrit une passion pour la pyrotechnie... Boum! Crash! Bada-boum! Tout ce qui explosait l'intéressait à présent. Il décida donc de créer sa propre artillerie de combat : des fusils à pompe avec balles explosives, un lance-grenades super... explosif, et plusieurs grenades explosant différemment selon la variété. Mais heureusement, toutes ses armes restaient dans le confort de son appartement, car il n'avait jamais la chance de les utiliser en combat, ou pour sauver quelqu'un.

Spani a maintenant vingt-six ans, ou vingt-neuf, dépendant du point de vue. Il est actuellement au chômage, et à la recherche d'un emploi. C'est un p'tit gars bien normal qui erre entre les mondes souvent clandestinement, à la recherche de quelque chose à faire pour combler son temps libre... Une vie parfois tumultueuse, parfois ennuyante à mourir...

Traits distinctifs : Ses mains sont brûlées au troisième degré. Cause : mauvaise manip' lorsqu'il voulait fabriquer une grenade. Que vivent le feu et les explosions!

« Équipements & combat. »

Armes : Un lance-grenades Hadès, un fusil à pompe avec cartouches explosives, différentes grenades, et quelques pétards par-ci par-là.
Armure : Des souliers, ça comte pour une armure?
Spécialité : Un genre de franc-tireur, mais ni bon tireur, ni trop bon ingénieur.

Pas de coquilles, c'est bon, c'est validé ! ^^

Tu sais ce qu'il te reste à faire !