Il y a toujours un imprévu.

Titre : Il y a toujours un imprévu.
Statut : Fermé.
En attente de : Naerus Mhagion, Garvians Vranesh, Varian Sarus et Enrique Calderón.

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Une musique aigrelette provenant d'un mégaphone accroché à l'un des murs résonnait dans la pièce d'où ne s'élevaient que des murmures. Quelques diplomates et civils ne désirant qu'un peu de paix étaient attablés aux tables d'un très chic bar de la Citadelle : Le Génésis.

Arkadya Darell était une Asari somme toute normale. Quoique, son âge peu avancé pour un membre de sa race pouvait en questionner plus d'un. Ce n’était vraiment pas un endroit pour une gamine. Les serveuses s’étaient abstenues de soulever ce point, surtout lorsque les crédits avaient afflués pour sa consommation. Consommation qui d’ailleurs était plus ou moins insolite pour quelqu’un de son âge : sur sa table était disposé un thé anglais Darjeeling et diverses petites douceurs "de luxes" provenant d’autres planètes.
Elle ne le dira jamais assez, mais Arkadya était fière de son âge. Elle allait bientôt fêter son trente-sixième anniversaire, et c’était quelque chose. Elle n’était pas une gamine mais une grande fille et elle se plaisait à le prouver à qui le voulait bien. Ce que beaucoup regrettaient, car malgré ses airs hautains et excentriques, elle en avait dans le crâne. Elle s’amusait à rabaisser quiconque ne lui donnait pas le respect qui lui était dû.

Teint très clair et légèrement rosé, les yeux verts clairs et pétillants, Arkadya était en phase de devenir une femme magnifique. En phase seulement, car malgré l’air sérieux et pédant qu’elle se donnait, son petit côté enfantin persistait. Elle était habillée comme une dame, même s’il lui manquait du galon au niveau de la poitrine.

Donc, Arkadya Darell sirotait tranquillement son thé dans ce bar très huppé. Elle s’était silencieusement offusquée d’une dame très mal habillée et très mal peignée qui avait osée faire part de sa présence à la clientèle très chic de la boutique. Son petit train de vie aurait du continuer de la même manière, ce qu’elle aurait d’ailleurs bien voulu.

La quiétude de cet endroit fut perturbé par l'arrivée impromptue de quelques Krogans à l'air mauvais. Ils s'étaient stationnés devant la porte du bar, qui s'était ouverte juste devant eux. Au nombre de trois, celui du milieu semblait être le plus intelligent du groupe. Aucun d'eux ne portaient d'armes à cause de la réglementation de la citadelle, ce qui ne les empêchaient pas de paraître menaçant. Pendant que leur chef dodelinait de la tête et regardait de droite à gauche, à la recherche de quelque chose, les deux autres gros bras faisaient craquer leurs poings. Au bout d'un moment, les trois balourds s'avancèrent dans le bar en faisant trembler le sol autour d'eux. Un des mercenaire eut d'ailleurs l'audace d'arracher le sac à main d'une dame.

L’arrivée ces Krogans mal intentionnés n’avait pas que gâché sa journée, c’était aussi très mauvais signe pour elle. Arkadya avait gardé un air stoïque lors de l'apparition de ces fauteurs de troubles et n’avait pas, contrairement aux autres clients du Génésis couiné comme un vieux cabot pris au piège. Elle en était sûre, un des Krogan avait tourné sa tête vers elle et lui avait sourit de toutes ses dents avant de continuer vers le comptoir. Un sourire carnassier qui ne voulait dire qu’une chose : "viande fraîche à l’horizon".

Cependant, certains clients du bar ne semblaient pas vouloir laisser aux Krogans ce qu’ils étaient venus chercher. L'un d'eux s'était offusqué et avait sermonné les gros bras sur leur attitude on-ne-pouvait plus anarchiste. Arkadya ne pu s’empêcher d'applaudir à ce moment-là. C’était un timide applaudissement qui s’était noyé dans les cris hargneux des Krogans. Cela n’avait pas arrangé les choses, loin de là. La situation était devenue précaire et c’est à ce moment-là qu’Arkadya décida de partir discrètement. Elle eut seulement le temps de descendre de sa chaise –quelle idée de les fabriquer aussi hautes, en même temps- que le Krogan frappa sauvagement le client.

Arkadya aurait tellement voulu que cela se passe ainsi : En se faufilant discrètement entre les tables sans se faire voir, elle aurait facilement pu quitter ce bar maudit. C’était sans compter un des deux Krogans qui décida de changer de cible.

-Zarh ! Occupe-toi de ce gêneur. Moi, je vais aller chercher la p’tite. Tu pige ? Putain de clients qui restent pas en place !

Le dénommé Zarh grogna pour signifier son accord. Que pouvait-il faire d’autre, en même temps? Le plus futé était le chef, et ça ne semblait pas être lui.

-Pas de problèmes, Derek.

Arkadya reconnu aisément celui qui lui avait sourit d’une manière si particulière. Elle déglutit bruyamment. La petite Asari était bien empêtrée dans les ennuis, on dirait. Derek, donc, s’avança en grognant vers Arkadya. Arrivé à sa hauteur, il la prit par le col et la souleva sans problème. La demoiselle voulut desserrer son étreinte mais n'y arriva pas. C'est dans ces cas comme cela qu'elle regrettait de ne pas avoir assisté aux cours de gymnastique de son école. Elle s’essoufflait dans un cent mètre et les seules choses qu’elle savait porter n’était autre que ces tasses remplie de thé anglais dont elle raffolait tant.

-Hin hin ! Coucou gamine, alors ça fait quoi de revoir de vieux amis ?
-Retirez vos sales pattes de Chelonii de ma gorge si vous ne voulez pas le regretter ! Je pourrais vous payer une montagne de crédits pour que vous arrêtiez de me suivre !
-Désolé gamine, mais notre commanditaire paye mieux.
-Je… J’ai une armée entière de garde du corps sous mes ordres !
-Ah ouai ? Tu crois pas que je vais gober ça, quand même ? Reste tranquille et tout ira bien… J’voudrais pas qu’on t’ramène avec une jambe en moins, conclu t’il de son rire rocailleux.

De la ou elle était, Arkadya avait une superbe vue sur l’ensemble du café. Elle fit un regard suppliant aux clients hébétés, ne sachant pas quoi faire d’autre pour se tirer d’affaire.

Une journée commes les autres à la Citadelle, Naerus est terrassé par une journée de travaille au Présidium. Il faut dire que depuis l'attaque de Sovereign et surtout, la disprition de Sheppard, c'est toujours l'effervescence... Le diplomate est bien décidé à se reposer avant son heure de sommeil.

Une fois descendu du Presidium, Naerus se dirige vers le Génésis, un bar plutôt calme pour politiques, diplomates....pas de Krogans mercenaires en somme.

*Mince faut que j'appelle Kailon.... l'Omnitech qu'il m'a donné déconne complètement....*

-Oui Kailon ? C'est Naerus, dis moi tu pourrais me trouver un autre Omnitech, celui que tu m'as donné a un peu de mal......Non, non prends moi le même modèle, t'as dû me prendre une fin de série...........Bon allez, tu me l'envoyes et j'verse les crédits sur ton compte.

Naerus s'avance vers l'entrée du bar sans se douter un seul instant de ce qu'il peut l'y attendre. Les portes s'ouvrent, il tombe nez à......dos avec une Asari empoigné par un Krogan. Une Asari bizarrement jeune, si on peut dire ça, mais très bien habillée, le Galarien ne l'avait jamais vu que ça soit dans le bar ou la Citadelle. Mais ce qui le dérangeait le plus pour l'instant c'était le Krogan et même si notre diplomate a eu assez peu l'occasion de travailler avec eux, leurs diplomatie se résumant en général à la guerre, il sait très bien que les Krogan ne sont pas vraiment intéressé par le luxe et l'ambiance relaxante du Génésis...

Dès son entrée tout les yeux se tournèrent vers lui, ceux des clients et paniqués et surtout, ce qui l'arrangeait le moins, ceux des....3 immenses Krogan, il venait juste de remarquer les 2 autres qui se trouvaient dans le bar. A leurs visages il n'avait pas vraiment l'air heureux de le voir arrivée mais celui qui tenait l'Asar se mit à sourire, un sourire malsain de Krogan, et il dit :

-Tiens tiens.... Un Galarien, intéressant, tu sais ce qu'on leurs fais aux Galariens dans mon clan sur Tuchanka ?

-Certainement pas des cours sur l'évolution des moteurs à hyper-propulsion neutronal des prothéens à mon avis.... Sérieusement je ne sais pas ce que vous leurs faites mais si vous m'le dites je m'en ferais un plaisir d'en parler à Urdnot Wrex je l'ai justement croisé en venant, je crois que jouer les diplomates à la Citadelle pour les Krogans c'est pas vraiment sa passion...

*Au point où j'en suis, le bluff, il me reste plus que ça....*

-Oh, et je vois que vous connaissez la fille de la Matriarche euh....... mince j'ai oublié son nom, vous savez celle qui a détruit une escouade entière des berserkers sur Omega..... bon sang, tout l'monde parlent de cette histoire au Presidium pourtant....

Le Krogan le regarde pendant un moment, regarde l'Asari et réfléchit pendant un instant avant d'émettre un grognement dont seul les habitants de Tuchanka ont le secret...

Derek renifla bruyamment.

-Connerie ! Je sais très bien qui est sa mère, et c'est pas la prostituée de l'espace dont tu parle.

Arkadya, en entendant cette phrase, s'agita de plus en plus. Autant elle n'avait pas réellement semblée inquiète lorsque le Krogan l'avait empoigné, autant son visage présentait à présent des signes d'angoisse.

-Ma mère ?! Vous lui avez fait du mal ? Si vous avez touché ne serait-ce qu'une seule de ses tentacules, je vous jure que vous allez le regretter !
-Comme si tu pouvais y faire quelque chose, morveuse, fit le Krogan en resserrant sa poigne. Le visage de l'Asari changea légèrement de couleur.

Derek tourna sa tête vers le Galarien, ses petits yeux bovin étincelant d'une lueur mauvaise. Il avait semblé avoir été légèrement déstabilisé lorsque Naerrus avait parlé d'Urdnot Wrex. Mais il se ressaisit bien vite : Il n'était pas une lopette. Et puis, on lui avait promis mont et merveille pour ce travail, tant et si bien qu'il ne se sentait pas d'humeur à abandonner si vite.

-Dégage, sinon j'te fracasse ton petit corps chétif.

Pendant ce temps, les deux autres Krogans continuaient de brutaliser les clients. Ils s'amusaient à leur rugir dessus pour les effrayer pendant que leur chef était occupé avec le Galarien. Le client blessé avait rampé, le nez en sang, vers le comptoir : il avait compris la leçon.
Derek montra ses dents en forme de pierre tombale pour intimider son interlocuteur avant d'écarter Naerus d'un geste, en usant modérément de sa force. Tout ce qu'il désirait, c'était emmener cette Asari avec lui malgré le grabuge qu'avaient laissés les deux autres gros bras dans le Génésis. Il fit un pas vers la sortie.
Arkadya le frappa de ses petits poings pendant qu'il riait à gorge déployée. Elle fixait le Galarien avec des yeux implorants.

-J'vous en prie... hurk, peina à dire la jeune Asari. Aidez-moi... monsieur.

Arrivé il y a à peine 1h sur la Citadelle, Varian quitta le Valoror direction l’ambassade turienne.
Après une dizaine de minutes de marches, il arriva devant les ambassades, la il décida prioritairement de rendre visite à l’ambassadeur. Arrivé devant la porte, un petit mot de l’ambassadeur qui disait qu’il serait de retour dans 1 heure ou 2.

- « Bon … Go boire un coup au Génésis »

Il descendait les marches quand il entendit du grabuge venant justement du Génésis. Il ne chercha pas a comprendre, il monta les marche du Génésis et se colla contre le mur pour écouter.
Il pencha sa tête pour voir un peut ce qu’il ce passait.

- « Un, deux, trois … Trois Krogans, deux frappant les clients et le troisième détient une Asaris et menace un Galarien. » dit Varian tout bas.

Il mit la mains sur son Holster par réflexe, mais il se rappela que les armes n’étaient plus accepté sur la Citadelle depuis l’attaque Geth … Ce qui n’allait pas l’aidé ! Seul contre 3 Krogans … Il finirait écartelé, aucune arme quel quelle soit … Il descendit les marches pour trouver un agent du SSC, il activa son camouflage et vola l’arme de poing d’un agent humain. Il retourna au bar mais cette fois il ne se cacha pas, il entra avec son camouflage se mit derrière le chef de guerre et pointa son arme de poing sur ça tête. Maintenant qu’il était en position il enleva son camouflage.

- « Hey ! Gros tas ! Laisse l’Asaris et toi et tes abrutis vous dégagez ! Ou alors … je te fait un jolie petit troue dans ta petite gueule d’amour ! »

- « Umh … Toi tu as décidé de mourir ! Je suis assez payé pour risquer ma vie ! »

Les deux coéquipier du Krogan se retournèrent vers Varian avec un sourire malsain en se faisant craquer les mains. Varian eu une rapide sueur froide. Il avait fait une erreur et il allait le sentir passé.
Varian regarda le diplomate Galarien dans les yeux en essayant de lui faire comprendre qu’il devait prévenir le SSC. Voyant que le Galarien ne comprenait pas, il tira sur le plafond pour intimidé les Krogans et tenté de prévenir le SSC. Malheureusement pour lui, ça ne marchait pas. Il décida de lancer le M3 au Galarien pour qu’il tente quelque chose pour aider Varian à utiliser son omnitech dans le but de prévenir le SSC avant de se faire écarteler par les 3 Krogans.

« Dios mío... Ch'crois que j'ai trop bu moi. »

Enrique, capacités légèrement affaiblies par les litres d'alcool, tenta en vain de se relever. Ses jambes étaient molles, et ne semblaient pas pouvoir supporter son poids. Après plusieurs essais, il se résigna à rester quelques minutes sur le sol, marmonnant quelques jurons. La tête dans le fond de la cuvette, il pensait à voix-haute, sous les regards dubitatifs des passants qui osaient s'aventurer dans les toilettes. Puis, un haut-le-cœur intense vient perturber la quiétude d'Enrique, régurgitant par le fait-même tout ce qu'il avait mangé depuis trois jours. Ces déjections aussi fréquentes soient-elles durèrent au moins une bonne dizaine de minutes, mais je vous épargne les détails pour le reste. Plusieurs minutes plus tard, il se leva nonchalamment, ayant partiellement repris le contrôle de son corps et de son esprit. Sa démarche était toujours maladroite, mais il était tout de même apte à se mouvoir sans problème. Après s'être lavé préalablement les mains et essuyé la bile qui subsistait sur le coin de ses lèvres, il se dirigea finalement vers la sortie des toilettes.

Le Génésis, c'est là-bas qu'il avait décidé de se rendre. Après plusieurs tentatives d’application d’emplois vains, il avait pris l’initiative de venir ici pour noyer tous ses chagrins, ses défaites et ses échecs. En soit, Enrique était un authentique lâche, un véritable adepte de la non-persévérance. Quand il avait un souci, qu’il soit important ou non, il cheminait viscéralement vers le bar le plus près, commandant des verres et des verres d’alcool à l’aide des crédits qu’il gagnait pourtant durement. Ouais, Enrique était un méprisable lâche… Mais il s’en contrefichait royalement de l’avis des autres. Tout ce qu’il voulait pour le moment, c’était de s’amuser et de dénicher provisoirement un petit boulot pour payer ses dettes et combler ses revenus… inexistants.

Quoi qu’il en soit, alors qu’il franchissait le seuil du Génésis, il se dirigea machinalement vers le comptoir. Il eut envie de demander un autre verre de bière de varren à la barmaid, mais s’y résigna aussitôt lorsqu’il perçut des effluves d’alcool. Il passa à peu de vomir, mais se retint et fit un demi-tour sur lui-même. Après cette soirée beaucoup trop arrosée, il était mieux pour lui de dormir un peu, et recommencer tout à zéro le lendemain, ce qu’il fit sans ne plus tarder. Les yeux à moitié fermés, déambulant difficilement entre les ivrognes et les pervers, Enrique se frayait donc un chemin jusqu’à la sortie du bar. Mais sa stupéfaction fut telle quand il distingua au loin la présence d’une bande de Krogans qui semblaient s’attaquer à une jeune Asari, à un Galarien et à un Turien. La position défavorable du Galarien et du Turien ne l’importa que peu, mais quelque chose en lui le poussait à agir pour sauver une jolie demoiselle. Après un combat intérieur, il soupira :

« Ou au pire, je fais semblant de n’avoir rien vu et je m’en vais… Ouais, c’est une bonne idée. »

Son ton de voix était clairement brisé par les joies de l’alcool. Comme décidé, il se précipita vers le seuil du Génésis, mais tomba nez-à-nez, ou plutôt nez-à-torse avec l’un des colosses Krogans qui perturbaient ladite Asari. Pour seule réaction, il se contenta que de dévisager quelques secondes le reptile, avant de dire d’une voix arrogante :

« J’aimerais passer. Dégage le gros. »

Il venait de signer son arrêt de mort. Clairement. Aussitôt, le Krogan bouscula violemment Enrique, qui perdit l’équilibre quelques moments avant de s’écrouler brusquement sur le sol. Le choc avait été si brutal que le sol du Génésis s’était presque mis à vibrer. Furieux et dans le feu de l’action, Enrique se releva aussitôt et s’approcha lourdement vers son assaillant. Il affirma de nouveau :

« Je crois que t’as pas compris, j’ai dit que je voulais passer. »

Le Krogan dégaina un long poignard. La lame recouverte d’une croûte de sang effraya aussitôt Enrique, qui s’empressa de se reprendre :

« Ou pas. Je vais passer par un autre chemin. »

Varian était à terre, il saignait du visage, le krogan l’avait salement amoché.
Il fut surpris de voir que le galarien savait se servir d’une arme, et l’humain … tous les mêmes après tout, incapable de se battre contre qui que ce sois !
Shepard était vraiment le seul humain digne de ce nom. Voyant Derek le leader du groupe krogans tombé à terre après avoir reçu une balle dans les jambes, Varian se redressa aussitôt avec difficulté certes mais il ne prêtait pas attention à ses douleurs. Il se leva et s’empressa d’attrapé Derek dans le dos en immobilisant ses bras. Il avait fait sa formation militaire et ça n’avait pas été inutile, grâce à son entrainement, il avait appris à immobilisé un krogan.
Varian regarda le Galarien qui menaçait l’autre krogan avec le M3. Seul lui et Varian savait qu’il n’y avait plus de cartouches thermique à l’intérieur. Varian tourna la tête et regarda Zarh le krogan qui lui avait décoché deux trois coups avec un regard agressif.

- « Partez d’ici et votre chef reste en vie ! »

Pour une fois Varian avait réellement peur, il ne voulait pas finir sur la citadelle baignant dans son sang et surtout tué par des krogans sans réaliser ses rêves. Il espérait que quelqu’un avec du cran débarque pour faire le ménage.

*Si sa continue, on va tous y passé…*

Il était désespéré de voir que l’humain était un incompétent, ça ce voyait sur son visage qu’il avait des problèmes. Mais ce n’était pas une raison pour jouer la tapette et se rabaissé devant un krogan !

- « Hey l’humain ! Bouge ton cul ! Où tu finiras ta vie sur le sol de ce bar ! »

Regardant les deux autres korgans toujours aussi menaçant, Varian commençât a désespéré ! Quelqu’un devait faire quelque chose et en urgence !